 Agrandissez l'image Week-end en demi-teinte pour le festival du livre d��le-de-France de Mennecy. Cela ne commen�ait pas au mieux en ce samedi 10 d�cembre, puisque des deux livres arHsens en lice pour l�un des prix, aucun n��tait prim�. Un r�sultat d�autant plus d�cevant que de l�aveu m�me de certains membres du jury � dont nous tairons le nom �, Comment devenir guerrier massa� gardait toutes ses chances jusque dans la derni�re ligne droite. Principal d�faut du roman d��ric Gilberh : son histoire ? son style ? Que nenni. Coiff� au poteau par des livres dont nous ne nions �videmment pas les qualit�s, Massa� � comme nous l�appelons affectueusement entre nous � n�a pourtant apparemment malheureusement p�ti que de la notori�t� (de l�absence de notori�t�, s�entend) de son �diteur. Sur 26 romans, 13 provenaient de 8 maisons dites � grandes �. Trois raflent la mise : Callman-L�vy, Albin Michel et Robert Laffont. � quand une lecture anonyme des textes par les jurys litt�raires, sur des supports ne mentionnant ni le nom de la maison d��dition ni celui de l�auteur, histoire d��viter tout malentendu ? Sans doute jamais, il faut croire que des enjeux qui nous d�passent sont en �uvre.
De Gauche � droite: Fr�d�ric Mouchet et �ric Gilberh. La suite de la journ�e ne devait pas nous procurer beaucoup plus de satisfaction. Vid� de tout public apr�s la remise des prix et en l�absence du parrain de la manifestation, Gonzague Saint Bris, qu�un message vid�o enregistr� rempla�ait tant bien que mal (plut�t mal), le complexe municipal Alexandre Rideau prenait des allures de ville fant�me o� erraient quelques silhouettes d�auteurs et d��diteurs plus ou moins d�s�uvr�s. (Cliquez sur les images pour les agrandir.)
R�sultat des courses en cette premi�re journ�e : pas un livre vendu, et un sentiment de frustration malgr� la pr�sence toujours aussi amicale de Fr�d�ric Mouchet venu de Toulouse pr�senter sa Soupe au formol, comme � chaque fois que nous l�avons sollicit�. L�espoir, malgr� tout, demeurait : demain sera un jour meilleur.
Et ce fut le cas ! (Comment cela �a ne pouvait pas �tre pire ? Vous �tes durs !) Rejoints en cette seconde journ�e par �ric, qui avait d� s��clipser pr�matur�ment la veille pour raison professionnelle, de m�me que l�auteur de La Fum�e qui gronde, Philippe Zaouati, �ric, donc, connu en ces contr�es comme le loup blanc ou presque, nous valait nos premiers visiteurs et notre premi�re vente. Pris par l��motion, nous immortalis�mes la sc�ne. La machine �tait lanc�e, le poignet �chauff�, il n�en fallait pas plus pour que les choses s�emballent.
Non, l� c�est moi qui m�emballe. Mais sans aller jusqu�au paroxysme d�un Julien Lepers vendant son livre � la foire de Brive, les curieux attirant les curieux, Fr�d�ric et �ric r�alisaient l�exploit d�avoir � d�dicacer chacun leur livre en m�me temps � et je jure que la photo n�est pas pipeaut�e pour la beaut� du geste, le couple qui se trouvait de l�autre c�t� de la table a v�ritablement achet� et La Soupe, et Massa� ! Quelques heures plus tard, nous nous quittions finalement satisfaits de la journ�e, si ce n�est du week-end, pr�ts � remettre �a � la premi�re occasion.
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Congratulation and satisfaction ! Ecrit par Alex, la cliente d'Edouard ! le 2012-03-10 22:01:44 F�licitations Messieurs ! Pas de prix mais la super classe quand m�me ! �ric, la super star du salon, je termine ton Massa�... si tu lis mon Crash !
| les cheveux en 4 Ecrit par le vengeur masqu� le 2011-12-12 18:01:36 premi�re constatation: eric perd ses cheveux! ce n'est pas tr�s litt�raire, comme remarque, mais c'est ainsi. houuuuuuuuuuu!!!! ensuite: c'est mal, de copier le texte des d�dicaces de ses petits camarades de jeu! tu m'entends, gredin?! enfin: rendons hommage aux vainqueurs des prix. s'ils les ont eu, c'est qu'ils le m�ritaient. bravo � eux!!!!! et, pour terminer: en d�pit de la fr�quentation assez faible (mais il me semble que ce n'est pas propre � mennecy, tous les salons du livre se vident...), l'�quipe organisatrice a fait tout ce qu'il fallait pour rendre le s�jour des �crivains le plus agr�able possible. grand merci leur soit dit!!!!! en bonus: j'ai l'impression qu'il est encore plus difficile de vendre des livres que de les �crire. non? allez!!! bizes � vous tous!!! (m�me � toi, gonzague!!!) |
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