Franck est le troisième enfant d'une famille tardivement bourgeoise de la banlieue ouest de Paris. Enfance heureuse et turbulente dès sa naissance en août 1963 : illuminations bretonnes en été dans la maison de sa grand-mère paternelle, joies jurassiennes en hiver chez l'oncle maternel, et, pour le reste, vastes saisons parisiennes. Goût précoce pour Dieu, la nature, le football, les mathématiques et la musique.

Après ses études supérieures au lycée Modeste Leroy d’Évreux puis à l'université de Caen, il échappe à la conscription en effectuant un service civil au CERN, près de Genève, dans l'un des plus prestigieux laboratoires scientifiques au monde. C'est de là, en 1991, de femme en femme, qu'il s'établira sur les beaux rivages helvètes.

Après s'être confronté dès son plus jeune âge à la musique (Franck Aria est aussi guitariste et compositeur amateur), sa lecture de Sollers l'incite à lire les génies (Nietzsche, Nabokov, Faulkner, Sade, Voltaire, Saint-Augustin, Kafka, la Bible...). Enfin, début 2007, l’œuvre d'un second écrivain français, Stéphane Zagdanski, le pousse irrévocablement vers le versant lumineux de l'écriture.

Il vit aujourd'hui à Lausanne, à deux pas de Montreux où Nabokov a longtemps vécu.

Il a publié chez arHsens Vastes Solitudes.